La Normandie fut dès le début du XIXe siècle une des destinations privilégiées des touristes, première région touristique française.
La longueur de ses côtes, la qualité de son air iodé et la proximité de Paris firent rapidement de quelques villes et villages de pêcheurs normands des stations balnéaires huppées, telles Dieppe ou Trouville. Certaines stations se développent autour d’un village ancien, comme Trouville, dont les balbutiements touristiques marqués par la fréquentation du peintre Charles Mozin datent des années 1820.
D’autres stations sont créées comme Deauville, exemple parfait de la «
station intégrée », qui naît en 1859, sous l’impulsion du Duc
de Morny grâce à une société immobilière composée de banquiers et
d’hommes d’affaires.
L’essor du tourisme a bien sûr été accompagné par cette invention
du XIXe siècle, le chemin de fer, de la première ligne reliant Paris
à Rouen, puis au Havre en 1847 et la mis en place des « trains de
promenade » jusqu’aux trains « de bains de mer » desservant Dieppe,
Etretat, Trouville et Granville à partir de 1897.
Dès les années 1820, Honfleur attire les peintres romantiques, comme Turner ou , Huet et Mozin . A leur suite arrivent tous les paysagistes
de l’Ecole de la nature. Eugène Boudin attire à Honfleur tous ses amis
peintres et, pendant quinze ans, orchestre les rencontres de
Saint-Siméon.
Les maîtres précursseurs de cet intérêt pour la Normandie et les
côtes de la Manche sont :
- Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875) qui se rend
fréquemment, entre 1830 et 1845, en Normandie, chez ses amis les Sennegonet.
- Gustave Courbet (1819-1877) qui se rendit en Normandie avec le peintre
américain James McNeill Whistler (1834-1903) et au cours de l'été
1869 séjourna à Etretat.
- Charles-François Daubigny (1817-1878) qui est peintre de l’eau,
des bords de la Seine, de l’Oise et qui dès les années 1850,
découvre la région de Villerville-sur-Mer sur les conseils de Corot et s’entiche de ce petit port côtier, en contrebas de la corniche.
- Johan Barthold Jongkind (1819-1891) fut attiré par la côte
normande, par exemple le Havre, Sainte-Adresse, Honfleur et Trouville
où il réalisa des marines et scènes côtières d'une grande fraîcheur.
René-Xavier Prinet et la Normandie
Quelques années avant Deauville, en 1853, une station balnéaire est créée de toutes pièces à Cabourg. Un plan en éventail est dessiné, et les artères convergent vers le Grand Hôtel et le Casino implantés sur le front de mer. Une digue-promenade, la plus longue d’Europe (près de 4 km !), permet à la belle société de voir et de se montrer.
René-Xavier Prinet, avec beaucoup de finesse et de charme, évoque dans des peintures, des Cavaliers sur la plage, des élégantes sur la Plage de Cabourg ou la belle Villa Montebello.
Les séjours passés au Double-Six, propriété normande où l’été venu les
Prinet ouvrent leurs portes à la famille Desvallières , forment aussi leurs meilleurs souvenirs, ce sont des moments bénis : « Cabourg reste parmi les temps les plus heureux de ma vie, soyez-en remerciés tous les deux. » écrira Marguerite à Jeanne Prinet en 1915, au moment de la mort de son fils Daniel au front d’Alsace.
La plage de Cabourg de René Xavier Prinet, 1896
(Huile sur toile, 27 x 40,7 cm)
Musée des Beaux-Arts de Caen
La plage de Cabourg de René Xavier Prinet, 1910
(Huile sur toile, 94,3 x 150,5 cm)
Musée d'Orsay
Baigneurs devant le Grand Hôtel de René Xavier Prinet, vers 1920
(Huile sur panneau, 33 x 41 cm)
Coll. Part.
La Normandie vue par les peintres des XIXe et XXe siècles
Jean-Baptiste Camille Corot a particulièrement apprécié ses séjours en Normandie et plus précisément dans La Manche. Des séjours partagés avec ses amis autour de la capitale, Saint-Lô.
Grand admirateur des paysages de Corot, Eugène Boudin est surtout célèbre pour ses représentations des côtes normandes. Sur les conseils d’Isabey, il invente les « scènes de plage », de petites toiles pleines de charme où, en quelques touches enlevées, il croque de belles dames en crinolines et de beaux messieurs en habits. Bientôt, tous ses amis rappliquent. On trouve là Courbet, Jongkind, Monet, l’Américain Whistler puis Caillebotte. D’autres artistes partent explorer des contrées plus sauvages : Huet , Troyon et Riesener forment un cercle d’amis qui parcourt la vallée de la Touques; Degas escalade les falaises entre Dives et Villers et en ramène de merveilleux pastels.
De même
Victor Vignon , élève de Camille Corot, également ami d'Adolphe Cals, puis compagnon de Camille Pissarro et de Cézanne à Auvers-sur-Oise s'écartant de l'influence de Corot en 1874 réalisera des toiles en compagnie de Cals en Normandie (cf "Falaises de Normandie " et "Plage et falaises à marée basse, Honfleur ").
La falaise d'Etretat après l'orage de Gustave Courbet, 1870
(Huile sur toile, 133 x 162 cm)
Musée d'Orsay
La plage de Trouville d'Eugène Boudin, 1864
(Huile sur bois, 26 x 48 cm)
Musée d'Orsay
Vue des falaises de Houlgate de Paul Huet, 1863
(Huile sur toile, 157 x 227 cm)
Musée des Beaux-Arts de Bordeaux
Falaises de Normandie de Victor Vignon
(Huile sur toile, 42 x 60 cm)
Coll. Part.
Parmi les grandes mutations dont le 19e siècle fut témoin, le prodigieux essor des villégiatures et des loisirs de plein air est un phénomène qui concerne également l’histoire de l’art. Toute une société, qui se déplace volontiers en train, part à la conquête de nouveaux territoires : la côte, la plage, la mer… La Normandie mais bien d’autres régions également, vont prendre une part essentielle à cet engouement. Pour la première fois l’atelier du peintre quitte la ville, se transposant dans la nature même. Désormais, avec les Impressionnistes , le sujet des tableaux ne se trouve plus dans les livres ou dans l’imaginaire des peintres mais au cœur de la réalité et de la vie, dans ces territoires nouvellement conquis, ces lieux de détente et de loisirs aux bords de l’eau.
Durant l'été 1870, Claude Monet séjourne à Trouville avec sa
jeune épouse Camille. "L'Hôtel des roches noires " témoigne,
comme de nombreuses toiles d'Eugène Boudin dont l'influence fut forte sur le jeune Monet, des mondanités balnéaires de la grande bourgeoisie
du Second Empire. Claude Monet a représenté la façade sur la mer de l’Hôtel des Roches noires. Le peintre s’est centré sur son architecture élégante, imposante et haussmannienne. La promenade élégante fait revivre sur la côte normande le mythe du boulevard, lieu de promenade moderne dans le Paris du Second Empire.
L’œuvre de Monet est aussi une remarquable étude de vent avec les
drapeaux qui claquent dans un ciel à peine nuageux.
Hôtel des roches noires. Trouville de Claude Monet, 1870
(Huile sur toile, 81 x 58,5 cm)
Musée d'Orsay
Scène de plage, Edgar Degas, vers 1869-1870
(Huile sur toile, 47,5 x 82,9 cm)
The National Gallery, Londres
La plage des Petites-Dalles de Berthe Morisot, 1873
Virginia Museum of Fine Arts
Les pêcheuses de moules à Berneval,
côte normande d'Auguste Renoir, 1879
(Huile sur toile, 176,2 x 130,2 cm)
Fondation Barnes, Philadelphia, PA 19130
La Villa Rose, Trouville de Gustave Caillebotte, 1884
(Huile sur toile, 60 x 75 cm)
Coll. Part.
Manet, Degas et Morisot passent également leurs vacances au bord de la Manche et vont s'y imprégner de l'atmosphère de la vie moderne.
Evidemment les impressionnistes vont progressivement fuirent l'occupation touristique. Ainsi Monet se réfugie les années 1880, à Etretat, Pourville ou Varengeville.
Pierre-Auguste Renoir lui, est accueilli à partir de 1879, par
Marguerite et Paul Bérard, au château de Wargemont à Derchigny-Graincourt. Au cours de ses séjours, il prend le temps de sillonner la région et de découvrir les paysages normands qu’il immortalise sur ses toiles.
Mais ce sont sans doute ses " Pêcheuses de moules à Berneval " qui sont les plus connues.
A l’époque des impressionnistes, la commune de Saint-Adresse, toute proche du Havre, était un lieu de villégiature à la mode. Les personnalités du monde littéraire et théâtral (Alexandre Dumas fils, les Frères Goncourt et plus tard la tragédienne Sarah Bernhardt) aimaient y séjourner.
La tante de Claude Monet possédait une propriété à Saint-Adresse. En
1870, juste avant la guerre franco-prussienne, le jeune peintre y
réalisa une des plus célèbres toiles de son impressionnisme naissant,
" La Terrasse à Saint-Adresse ".
Le site n’était pas inconnu des peintres puisque le grand Turner s’en était inspiré en 1832.
Monet représente ici une scène familiale et bourgeoise, au plein air. L’air souffle fort dans les drapeaux, l’horizon est chargé de vapeurs, et le jardin est luxuriant. La composition semble encadrer le jeu des voiles et des bateaux à vapeur qui apparaît sur la mer, à la ligne d’horizon. Cette affluence de navires souligne l’importance du Havre comme port maritime moderne à cette époque.
Au tournant du siècle, c’est une véritable station balnéaire qui voit le jour à Saint-Adresse sous le nom de Nice havrais, en raison de la qualité de sa promenade et de son exposition au soleil. L’architecture des maisons y était particulièrement élégante et originale.
En 1904, le peintre post-impressionniste Raoul Dufy, né au Havre, peignit à son tour un site à Saint Adresse. Il s’agit de la plage, très fréquentée. Les promeneurs élégants s’amoncellent sur l’estacade des régates qui conduit vers la mer. A la différence de Monet, Dufy s’est concentré sur les personnages davantage que sur le spectacle de la mer.
Terrasse à Saint-Adresse de Claude Monet, 1867
(Huile sur toile, 98 x 130 cm)
The Metropolitan Museum of Art
Les Bains Marie-Christine à Sainte-Adresse de Raoul Dufy, 20ème siècle
(Huile sur toile, 54 x 65 cm)
Fondation Bemberg, Toulouse
La Plage de Saint Adresse de Raoul Dufy, 1904
(Huile sur toile, 23 x 51 cm)
Musée Eugène Boudin, Honfleur
La plage à Honfleur de Félix Vallotton, 1919
(Huile sur toile, 54 x 81 cm)
Coll. Part.
Les ports de la Manche vus par les peintres
Boudin précurseur, exécute ses premières représentations portuaires au début des années 1850, notamment au Havre où il travaille. Plus tard, ses voyages en Normandie, Bretagne, Hollande, nord et midi de la France et même jusqu’ à Venise lui fourniront une matière riche au renouvellement de ses motifs. Pour autant, Boudin ne cherche pas à dresser le portrait des cités
portuaires et il n’éprouve aucune véritable attirance pour les réalités urbaines et leur représentation réaliste. Il ne se soucie pas
de cerner les gestes familiers de la vie portuaire ou d’en révéler les enjeux, comme le feront Pissarro et les néo-impressionnistes.
Le Havre, le festival des régates d'Eugène Boudin, 1869
Coll. Part.
Le Grand Quai au Havre de Claude Monet, 1872
(Huile sur toile, 61 x 81 cm)
Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg
La jetée au Havre de Claude Monet, 1868
(Huile sur toile)
Philadelphie, Museum of Art
Entrée du port de Honfleur de Johan Barthold Jongkind, 1864
(Huile sur toile, 42 x 56 cm)
Art Institute of Chicago
Le port idéalisé, dans la tradition classique de
Claude Lorrain , cesse d’être le lieu métaphorique du voyage pour
devenir un monde vivant, débordant d’activité au XIXème siècle.
Le port industriel fait une entrée triomphale dans la peinture moderne en 1874 lors de la première exposition impressionniste avec l’œuvre de Claude Monet peinte au Havre, "Impression soleil levant . Mais c’est Camille Pissarro qui, peu après, donne toute sa dimension à ce thème à travers une importante série réalisée pendant vingt ans, de 1883 à 1903, dans les trois ports normands de Rouen, Dieppe et Le Havre. Plus qu’aucun autre impressionniste sans doute, Pissarro se sera attaché à ce sujet du port industriel qui conjugue trois motifs d’intérêt : la vue urbaine, l’activité humaine et industrielle, et une atmosphère maritime par nature instable, offrant une gamme de variations atmosphériques infinies.
Le Havre, qui possède aujourd’hui la première collection impressionniste française après le musée d’Orsay, a vu naître et grandir d’importants peintres impressionnistes et post-impressionnistes : Claude Monet y a passé son enfance ; Raoul Dufy en est originaire. Saint-Adresse, banlieue résidentielle du Havre, fut également fréquentée par les artistes impressionnistes.
La série du port du Havre (24 toiles peintes depuis les fenêtres de l’hôtel Continental où Pissarro s’installe début juillet 1903) clôt un cycle entamé en 1883 à Rouen. A cette date, Pissarro trouve à Rouen un site urbain qui lui permet d’abandonner le thème des scènes et paysages ruraux. Ce premier séjour inaugure chez lui une nouvelle pratique : celle de la répétition en série d’un même sujet, popularisée par Claude Monet.
Port en Bessin, avant-port, marée haute (Calvados) de Georges Seurat, 1888
Musée d’Orsay
Le port du Havre marée, haute de Camille Pissarro, 1903
(Huile sur toile, 65.5 x 81.0 cm)
Coll. Part.
La jetée, marée haute, soleil du matin de Camille Pissarro, 1903
Coll. Part.
Le port de Honfleur la nuit de Félix Vallotton, 1901
(Huile sur carton monté sur bois, 72,4 × 101,6 cm)
Metropolitan Museum of Art, New York
Expositions et Festivals sur les peintres et la Normandie
1. Festival Normandie Impressionniste
Créée en 2010, cette manifestation originale propose, dans les deux régions normandes, de nombreux rendez-vous sur le thème de l'impressionnisme.
- Edition 2016 : Du 16 avril au 26 septembre 2016
Le thème du portrait sera l’occasion de mener une nouvelle action collective en Normandie. Festif et participatif, le Festival invitera tous les acteurs locaux et les amoureux de la Normandie à découvrir un autre visage de l’impressionnisme.
- Edition 2013
« Un été au bord de l’eau – Loisirs et impressionnisme », Réunion des Musées nationaux, 29 euros. L’exposition est visible au Musée des
Beaux-Arts de Caen, jusqu’au 29 septembre 2013.
Des robes à crinolines aux costumes de bain, des cabines, sièges, tentes aux régates et à la baignade, les sujets qui correspondent à l’engouement du temps sont immortalisés par Manet, Monet, Renoir, Gauguin, Cézanne, Boudin, Seurat, Maurice Denis, Mary Cassatt, Berthe Morisot, Alfred Stevens, René-Xavier Prinet et les autres, tous rassemblés de manière éphémère, le temps d’une exposition.
Eugène Boudin a peint les plages de la Côte fleurie. Claude Monet s’est attaqué aux Falaises de la Côte d’Albâtre. Les ports ont été peints par Camille Pissarro et Raoul Dufy.
2. Le Festival Normandie Impressionniste à Cabourg en 2010
Le festival Normandie Impressionniste a mis à
l’honneur, de juin à septembre 2010, l’Impressionnisme sur tout le
territoire haut et bas-normand.
3. « Rendez-vous à Cabourg », 2013
Du 28 juillet au 01 septembre 2013
Pour la 4e année consécutive , la façade du Grand Hôtel de Cabourg s’illumine d’images oniriques et féériques pour le plus grand plaisir des petits et des grands. Cette nouvelle édition du spectacle « Rendez-vous à Cabourg » vous fera revivre l’époque de la mode des bains de mer et l’évolution de la station balnéaire jusqu’à nos jours.
Dans le cadre du deuxième Festival Normandie Impressionniste, le spectacle mettra en valeur dans son scénario le mouvement impressionniste, le peintre post-impressionniste cabourgeais René-Xavier Prinet et les thématiques de l’eau et des bains de mer indissociables de la célèbre station balnéaire belle époque.
4. Trois expositions impressionnistes en Normandie, 2013
- Caen, Musée des Beaux-Arts, du 27 avril au 29 septembre 2013 : "un été au bord de l’eau "
L'exposition de Caen rassemble une centaine de tableaux de peintres impressionnistes français et étrangers, mettant en scène des personnages pratiquant des activités de loisirs en lien avec l'eau, principalement la mer. La période couverte est très large. En introduction et conclusion sont ainsi présentées deux œuvres majeures, l'une de Renoir de 1869 et l'autre de Matisse de 1906. Mais l'exposition présente aussi un Eugène Boudin de 1856 et un Théo Van Rysselberghe de 1920.
Lors de leurs séjours, Manet, Monet, Berthe Morisot, Degas vont réaliser des scènes de plages suggestives, conçues comme des esquisses libres et spontanées. Sous l’influence de Boudin, Monet peint les plages de Trouville et de Sainte-Adresse, inaugurant un genre enrichi par les expériences de Manet à Boulogne ou Gauguin en Bretagne... Cette séquence évoquera aussi les peintres réalistes et descriptifs tels Prinet, Blanche, Helleu, qui mènent aux interprétations lumineuses de Maurice Denis, séduisant metteur en scène de sa famille lors de ses séjours réguliers à Perros-Guirec.
- Le Havre, Musée d’Art moderne André Malraux, du 27 avril au 29 septembre 2013 : "Les ports de Pissarro "
- Rouen, Musée des Beaux-Arts, du 29 avril au 30 septembre 2013 : "Eblouissants reflets "
5. L’exposition « Derniers impressionnistes » 2019
"Le temps de l’intimité" se tiendra au Palais Lumière à Evian du 16 mars au 2 juin 2019 : "Derniers impressionnistes "
Cette rétrospective est dédiée à La Société Nouvelle de peintres et de sculpteurs, confrérie d’artistes célèbre et emblématique de la Belle-époque et des Années folles.
L’exposition présentera les peintres Edmond Aman-Jean, Albert Baertsoen, Albert Besnard, Jacques-Emile Blanche, Henry Caro-Delvaille, Eugène Carrière, Emile Claus, Charles Cottet, André Dauchez, Georges Desvallières, Henri Duhem, Antonio de La Gandara, Gaston La Touche, Ernest Laurent, Henri Le Sidaner, Henri Martin, René Ménard, René-Xavier Prinet , Jean-François Raffaelli, John Singer Sargent, Lucien Simon, Frits Thaulow et Eugène Vail.
Bibliographie
- L'ABCdaire de l'Impressionnisme de Laurence
Madeline et Dominique Lobstein, Flammarion, 1999
- Monet, l'œil et l'eau de Vincent Noce, L'inattendu, Edition de la RMN, Paris 2010
- Manet de Éric Darragon, Citadelles Et Mazenod (01/12/1991)
- Place
des Impressionnistes : la Normandie
- Sélection
de visuels de l'exposition : Pissarro dans les ports : Rouen, Dieppe, Le Havre